Le cbd peut-il être employé pour soigner la toxicophilie ?



Les troubles dus à l'ingestion de thérapeutiques, comme la toxicophilie, sont des folies dont l'inconvénient possible de rechute est élevé par les piste de toxique, la vulnérabilité au stress, l’anxiété et les capacités affaiblies par la maîtrise des impulsions. Alors que le nombre de personnes souffrant de toxicomanie aux États-Unis subie en permanence de grossir, on trouve un besoin pain au lait de normes et de médicaments curatives nouveaux et pertinents.

Qu’est-ce que le cbd ?



Il y a un séminaire sandwich sur l’utilisation médicale des lois de la marijuana et des cannabinoïdes. Bien qu’il y ait eu des utilisations réussies documentées du cannabis et de ses dérivés dans un contexte médical, des anxiétés subsistent quant à ses effets superflus à bref et sur la durée, y compris la dépendance potentielle à la drogue et le développement de maux psychotiques. Le cannabis ( cbd ) est un constituant du cannabis et, dans sa forme la plus pure, il est non psychoactif et ne crée pas de dépendance, ce qui sous entendu un candidat enviable pour une utilisation comme traitement traitement. Des fouilles antérieures ont indiqué que le cbd peut être efficace lorsqu’il est à utiliser pour réduire les accès quant aux sujets épileptiques et détient des fruits anti-inflammatoires et analgésiques. Maintenant, les équipes de chercheurs jus leurs cheminements sur l’étude du potentiel du cannabidiol pour maîtriser les fringales ajoutées à la toxicomanie.

Comment fonctionne le cannabidiol ?



Malgré des recherches poussées dans ce domaine, le mécanisme net du cbd n’est toujours pas complètement compris. le cbd se lie aux récepteurs du cerveau et on pense qu’il inhibe le système endocannabinoïde qui a des récepteurs dans tout moral et l’organisme. Le système endocannabinoïde a de plusieurs fonctions, même des la brusque apparition de l’humeur, de l’appétit, de la appel et du sentiment de douleur. l'huile de cbd se lie aux récepteurs de la mélatonine et de l’adénosine qui influencent la sentiment de la douleur et l’inflammation. Contrairement à la marijuana, le cbd ne se fixe pas aux récepteurs CB1 et CB2 dans le cerveau, c’est-à-dire simplement que bien que le cbd agisse en tant qu' un traitement, il ne provoque pas le même état « élevé » dépendant à l'ingestion de stupéfiant.

Données probantes sur le rôle potentiel dans le traitement de la toxicophilie



Récemment, le cannabidiol a avalé beaucoup d’attention du fait de son potentiel pour soigner l’abus de stupéfiant et de dérivés de l'éthanol. La littérature se concentre sur la capacité pharmacothérapeutique du cbd en termes de pertinence dans la prévention de la rechute dans l'usage de stupéfiant. On prétend que le cbd est top pour délimiter les états à risque de rechute de l'absorption de toxique en diminuant l’anxiété et les angoisses liés aux piste de médicaments et en médiatisant l’activité antidépresseur. En plus de cela, le cbd a une répercussion sur les circuits cérébraux initiateurs de ces pulsions de boisson et des comportements de recherche déclenchés par le cadre et les tensions dus à la potion. Compte tenu des fruits neuropharmacologiques et comportementaux du cbd et de son impact sur la maîtrise neurocircuitry de la dépendance, les implications du cbd pour le développement de nouveaux traitements de la toxicomanie ont attiré l’intérêt de la société de recherche qui étudie des solutions thérapeutiques pour la toxicomanie et la rechute.

Les études précliniques sur le cbd comme traitement de l’auto-administration de prise chez les animaux ont été hétérogènes. Une étude chez le lérot n’a montré aucune chute de l’auto-administration de prise une fois un traitement au cbd, tandis qu’une autre chez la souris a affirmé une baisse de la prise de sniff. Gonzales-Cuevas et ses collègues ont pensé le potentiel du cannabidiol dans les modèles animaux d’envie de médicament, d’impulsivité et d’anxiété. Dans l’étude, des bestioles ayant des génotype d’auto-administration de produits à haut degré alcoolique et de sniff ont obtenu du cannabidiol sur une période de 5j à un espace de 7 jours. Les résultats de cette observation documentent deux proportions du potentiel de la CDB. pour débuter, le cannabidiol a eu un effet sur les critères de rechute telles que la sensibilité au En savoir plus contexte thérapeutique et au stress, la maîtrise des emportement moindres et l’anxiété. Cela souligne l'efficience éventuelle du cbd à faire dégorger les états de fragilité qui permettant la rechute parmi les rats. Deuxièmement, les résultats du cbd étaient perdurables chez les animaux, quelle que soit la courte période du traitement. Ces différences entre ces études sur les animaux, éventuellement relatives à des différences de méthode, font remarquer l'utilité d’approfondir les sondages sur la question de recherche controversé.

Une recherche nouvelle publiée dans l’American Journal of Psychiatry, tournée par Yasmin Hurd, démontre par ailleurs l'efficience du cannabidiol à limiter les fringales chez les personnes malades d’une dépendance à l’héroïne. L’étude a disposé sur 42 femmes et hommes ayant des ascendance d’abus d’héroïne qui tentaient de s’abstenir de revenir. Dans le cadre de l’expérience, 2 sortes de scènes ont été exposés aux participants : de courts films neutres exprimant des scènes de nature et de courts films manifestant des charge liés à la philtre accordant à déclencher des désirs compulsifs de médicament. Les participants ont été divisés en trois groupes : les personnes qui ont pris 400mg de cbd, les personnes qui ont pris 800mg de cannabidiol et un comité méthode du. Les interventions ont été prises durant quatre jours consécutifs. L’expérience a été diligentée à double inconnu, ce qui signifie que ni les chercheurs ni les participants ne recevaient à quelles règles ils avaient été assignés au cours de l'aventure.

Les candidats ont ressenti des pulsions plus conséquentes une fois trouver étant donné les vidéos rattachées à l’héroïne par rapport aux vidéos neutres comme prévu. Cependant, les participants qui ont pris du cbd dans la situation des soins ont déroutant moins d’envies de remède que ceux qui du groupe placebo après l’exposition à des indices liés au médicament. Les bénéfices certifient aussi une diminution de l’anxiété ainsi qu’une restriction de la quantité de calories myocardique et surrénalienne qui est « l’hormone du stress ». Les aboutissements sur l’intervention étaient notables dès deux heures une fois l’administration de cannabidiol et étaient encore apparents jusqu’à une de la période de 7 jours après l’intervention.

État présent du programme de la toxicomanie et chemin futures



Le médicament libre pour la dépendance aux opioïdes n’a certes qu’une efficience temporaire car ces catégories de nutriments ont elles-mêmes des propriétés addictives. l'huile de cbd peut fournir une astuce peut être alternatif de délimiter la toxicophilie sans produire d’autres écuries. Cependant, il existe encore pas des masses de preuves à l’appui de l’emploi du cbd pour soigner la toxicophilie. Les essais précliniques pratiqués font sur des animaux et on peut utiliser peu d’études chez l’homme. À présentement, aucun positif clinique sur la personne n’a été bouclé et il sera aussi primordial d’évaluer l’effet à long terme de l’emploi du cbd au-delà d’une semaine d’intervention. Bien qu’il s’agit d’un postulant prometteur pour le plan thérapeutique de la toxicomanie, à l’heure actuelle, d’autres fouilles doivent être menées afin que le cannabidiol soit à utiliser sans nul risque pour venir à bout de la toxicomanie.

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